D’après un sondage réalisé par Ipsos, il y a quelques années, plus de la moitié de la population française considèrerait les jeunes générations comme «paresseuses» , «égoïstes» et «intolérantes» . Fait encore moins réconfortant, il semblerait que les jeunes eux-mêmes partagent ce constat résolument négatif. La famille Kiagi à l’exemple de beaucoup de personnes en France, montre que non les jeunes s’engagent, même s’ils le font différemment. Tom nous donne ainsi une manière d’exercer sa citoyenneté en agissant de manière solidaire.
On entend beaucoup de critiques sur la jeune génération (16-30 ans), une idée renforcée par une étude Ipsos sortie en 2011 qui relatait que “les jeunes [étaient] perçus comme égoïstes, paresseux et intolérants.” Un discours que certains jeunes de cette génération pouvaient eux-mêmes tenir.
Mais avec un chômage de masse, des voix les avaient défendu “les jeunes d’aujourd’hui sont confrontés à de grandes difficultés et leur situation est plus difficile qu’auparavant ».
“Dire que les jeunes ne s’engagent pas, c’est une formule toute faite, explique Annick Coupé, secrétaire générale d’Attac dans un article de Libération. Les jeunes s’engagent, différemment de nous certes, mais avec les mêmes colères. Ils ont davantage l’envie de faire, d’expérimenter, plutôt que de rester dans le discours.”
La société fragilisée par de nombreuses crises offrent mille possibilités citoyennes de s’engager dans tous les domaines. C’est ce que nous montre l’engagé Tom Kiagi !